Journée morne..

Asagi, les pieds sur la table riait aux éclats avec ses petits camarades, claquant l'un de leur bouc émissaire, Asagi essuyait ses pieds sur son coup.
Soudain, le professeur ordonna à Asagi de changer de place ppour se mettre a coté de l'invisible hyakurin.
il laissa ses affaires à sa place ainsi que son long manteau noir et vint s'assooir à cot d'elle.
quelques secondes plus tard, un de ses larbinbs lui apportaient ses affaires.

J'aime pas les thon et encore moins les blondes

dit il en sourriant avant de pousser les affaires de la jeune fille histoire d'avoir plus de place.
il posa ses pieds sur un morceaux de la table de la jeune fille

victime...

Ailleurs, elle ne fit d'abord pas attention a celui qui deviendrait par la suite, une source de problème assez..envahissante. C'est le raclement de son sac contre la table, toujours fermé depuis le début du cours, qui la fit émerger de ses pensées. Aussitôt, elle tourna lentement la tête vers le blasphémateur. Elle souria instinctivement.
Cet inérgumène allait-il lui servir de passe temps personel ?
C'est lui qui décidera de son statut dans le royaume morne de Hyakurin..
Elle laissa sa tête tenir toute seule, et, se tirant légerement en arrière, elle sortit son briquet, arracha une feuille de cours d'Asagi, qu'il avait si soigneusement entretenue jusqu'a maintenant, l'enflamma, et la jeta juste au dessus d'Asagi, la torche de misère allant s'écraser contre le manteau noir du gêneur.
Elle fit ces quelques gestes avec une patience honorable et une sérenité hors du commun, comme a son habitude. Regardant le manteau noir commencant a se cramer, elle s'adressa a Asagi.

J'aime pas les bourgeois mal baisé

Elle était parfaitement consciente de ses paroles et c'était en quelque sorte, un défit au seuil d'énervement limite d'Asagi, simple test pour voir si il allait en venir a son comportement habituel ; recourrir a ses relations pour se venger.
Elle avait entendu parler de lui mais se contrefoutait de sa vie. Les rares fois où elle venait en cours elle ne gaspillait pas son temps a l'analyse des personnalités confuses de chacun.
Ainsi elle regarda droit devant elle, l'air las, comme si rien ne pouvait l'étonner, comme si elle connaissait tout de la vie..BR allait lui apporter un grand changement..

Asagi émit un grand sourrir en voyant son manteau brulé, il ne la regarda même pas

C'était un H Naoto, avec sa tu aurais put nourrir ta putaint de mere pendant une semaine sa lui aurait évité de faire le trottoir et de prendre une semaine sabatique.
J'irais demain chez moi même moitié, je pense qu'ils doivent avoir des choses dans les 900000yen.

Il la regarda amusé et leva la main, pendant ce temps, il arracha un morceau de la jupe de la jeune fille, le professeur se retourna et lui demanda ce qui n'allait pas

La jeune fille à mes cotés me fait des avances sexuelles j'aimerait changer de place, je peut racheter votre école alors vous me changez de place.

Avant, les paroles de cet être malsain l'aurait mise hors d'elle.
Mais elle se contenta de le regarder avec un désintêret total, ne bougeant presque pas quand il lui arracha un morceau de jupe.
Ce merdeux l'aurait exaspéré a l'époque mais il l'amusait. Elle le regarda avec ce léger sourire si propre a elle même, ses cheveux lui cachant une partie de son visage, ne concentrant donc pas tout son regard sur Asagi.
Elle s'affachit sur sa table, posant ses bras sur celle-ci, faisant ainsi office de repose-tête. L'adolescente le dévisagea presque, son regard las posé sur les yeux d'Asagi. Elle l'observait, lui et sa manière de se tourner en ridicule avec ses paroles de fils de riche. Il s'y croyait. C'était un spectacle des plus amusant et on lisait dans le regard de la voisine de l'immature, une moquerie des plus insolente, dénudant les morts.

Chez les bourges c'est courant de zapper l'éducation de leurs chiens de gosses ?

Elle cessa de le provoquer du regard et poussa un léger soupir avant de rebasculer vers l'arrière, regardant droit devant elle, les mains sur ses joues, revenant au calme ambiant de son esprit.

Asagi la regarda en sourriant et tout en se levant, Giffla la jeune fille de devant qui s'était foutut de lui

La ferme morrue

Il se déplaça et rangea sa trousse, il rangea sa plume, puis attrapa l'encrier qu'il fit expres d'envoyer sur l'uniforme de la jeune fille

Au moins sa te fait de la teinture de riche, c''était de la mont blanc de France, de l'encre pour ceux qui ont les moyens
pas comme toi

il se leva et revint à sa place ou ses camarades se mirent à rire de la jeune fille lui lançant de temps à autre des insultes

Ma chere, chez les riches, on peux se prétendre supérieur puisque nous le sommes.
Toi tu travaille pour réeussir, moi que je travaille ou pas, je serai blindé de thune

La gifle que la fille a deux pas d'elle se prit, la fit sourire. Ce n'était pas le fait qu'une des filles qu'elle méprisait venait de s'en prendre une, mais de l'auto-défense d'Asagi frisant le ridicule, ce personnage détestait (apparement) qu'on se moque de lui, ce qui était un avantage pour elle.

Elle se leva tranquillement, avec un entrain redoutable qui défrayait la nuance en sortant d'un seul coup, subitement, de sa plénitude confortable, pour laisser place aux actes. Le regardant, toujours cette air las mais cette fois ci arrosé d'une faim de défi qui se lisait facilement dans ses yeux.

Tu ne supportes pas les réalités ? T'es succeptible..

Elle s'approcha dangereusement de lui et déja, l'attention de la classe était posée sur eux bien que le prof, absent, trop prit dans ses calculs, écrivait au tableau ses formules. D'un geste soudain et assez violent, elle prit Asagi par la tête et précipita le réceptacle de cette cervelle creuse sur sur sa poitrine, où le jeune prétentieux avait taché son uniforme.

Nettoie.

Asagi se mit à sourrire, il était au contact de la poitrine de la jeune fille et fit mine de se frotter entre ses deux seins, avant de se dégager avec une force remarquable

Demande a l'un de mes valets, tu crois qu'une fille comme toi peux me donner des ordres, tu n'es qu'une faible, quand à ma succeptiblité elle est justifié du faite que des minables êtres inferieurs s'adressent à moi.
Tu ne mérite pas qu'on te regarde, rien qu'à ta tête, on voit que tu es une fille de joie, et tu viens de nous le prouver à l'instant

Il se rassit et la regarda le sourrire au levre , murmurant à l'un de ses camarades quelques phrases qui le firent rire

Prostitué c'est pas si mal comme métier non?

Elle ne s'imaginait pas que l'immaturité du garçon allait être poussé a ce paroxysme. C'était effrayant de voir a quel point un cerveau endommagé pouvait faire autant de dégats. Elle compatissait grandement envers sa médiocrité et espérait profondément qu'il soit lucide sur son cas.
A la provocation d'Asagi, elle faillit rire mais se retint, baissant un instant sa garde puis relevant ses cheveux pour pousser a nouveau un soupir glorieux. C'était flagrant ; elle se moquait de lui sans retenue et les paroles n'avaient lieux d'être car seul l'attitude éclairait les choses.

Nan..c'est bien a toi, le travelo, que je t'ordonnes de passer a la consigne me chercher un nouvel uniforme.
Allez, ne me fait pas perdre mon temps.

Il la regarda totalement amusé, il ne prit même plus la peine de la regarder

on t'as assez vu, casse toi, si tu veux un autre uniforme, appel mon avocat

là, toute la classe explosa de rire, même le professeur avait le sourrire au levre.
Il se rassit et se remit à son cour

Je crois que je suis déllégué de classe non?
alors tu te tait et si ta un prbleme d'uniforme demande à un des charmants jeune homme de la classe, ils t'aideront surement...si je leur demande

Sa patience avait des limites. Il est vrai qu'elle était de nature calme et qu'elle ne s'enervait que très rarement mais les sous hommes de ce genre avait le don de faire exception a la règle, et d'ainsi, entraver son éthique.

D'un coup de pieds, elle fit basculer la fille qui auparavant, c'était mangée la main d'Asagi. La martyre tomba lourdement et aussitôt, avant que la chaise ne tombe, Hyakurin rattrapa celle-ci pour y prendre place, tournant le dos au prof et dévisageant Asagi des yeux.
*Tu as trop confiance en toi..*

A cette pensée, elle rigola encore intérieurement de ce pleutre qui ne cessait de s'enfoncer encore plus, puisant dans l'absolue nullité.

Bouge toi ton petit cul et ... cours

L'athmosphère devint soudainement plus pesante. Quand Hyakurin perdait son sang froid, et ça, la classe entière le savait, il ne valait mieux pas être dans les parages..

Allez la tarlouse, magne toi

Il la regarda amusé et lui fit un grand sourrire avant de lui aussi se lever, pour l'une des rares fois, il coiffa sa méche derriere l'oreil, laissant apparaitre une cicatrice sur les cotés de son oeuil.
Il marcha dans sa direction et s'assit en face d'elle

Ferme la, tu me soules

Il sortit son portable et quelques secondes apres, une limousine l'attendait devant la porte, l'un des hommes descendit et lui tendit un paquet.
Il prit le paquet avec doucuur et l'envoya en plein dans la face de hyakurin

Ton nouvel uniforme grognasse

Elle ouvrit le paquet et trouva un uniforme souvent utilisé par les fétichistes

Très observatrice, elle remarqua vite la balafre d'Asagi, ne le quittant pas des yeux.

Qu'est que tu t'ai fait mon chou ? Une soirée pédale a mal tournée, ton congénère la tafiole t'a griffé ?

Elle réceptionna le paquet et l'ouvrit mais il lui suffit d'un instant, avant que le colis subisse un "retour a l'expéditeur" violent. Asagi se le prit en pleine figure ce qui manqua de le faire tomber.
L'adolescente mit a nouveau son coude sur la table, regardant Asagi avec mérpis et toujours avec ce sourire narquois.

La cage aux folles c'est pas ici, loque..

Asagi la regarda avec horreur, ses yeux tel un assassin la fixere, sa cicatrice sur le visage faisait peur, d'un seul coup, il sortit une arme, un pistolet, qu'il braqua sur la tempe de Hyakuhin.
Il Hurla d'un air fou

JE VAIS TE CREVER JE VAIS TE CREVER

Il pressa la détente et de l'eau coula le long du pistolet, Yakhurin fut mmouillé jusqu'aux os en plus d'être taché

Pauvre conne

Il posa ses deux mains sur son visage et arracha le trompe l'oeuil qu'il avait sur le visage, on put en effet voire sa magnifique peaux qui n'avait plus rien de balafré.
Il jeta l'autocollant sur Hyakurin et retourna à sa place, remettant sa méche

Pauvre meuf...

Pendant un court instant, elle fut déphasée par la vue de l'arme. Cela lui rappela des souvenirs qu'il n'était pas bon de se rappeler, puis elle reprit très vite sa sérénité habituelle.
Elle le regarda d'abord, étonnée, la stupéfaction se lisant sur son visage. Puis elle manqua de sombrer dans un fou rire dans elle ne ressortirait pas facilement. Comment pouvait-il avoir des comportements aussi enfantin ?

Un bac a sable pour les travelo..c'est ça qui te faut..T'es con ou tu le fait exprès ? Tu m'emmerdes avec tes conneries...Allez bouge toi le cul

Elle regarda l'état déplorable de ses vêtements et soupira

Qui m'as foutu une loque pareille ?

Un grand sourrire apparut sur le visage angélique d'Asagi, la sonnerie rententissa en même temps et Asagi et so groupe quittere la classe laissant la jeune fille seule avec le professeur, qui lui fit une reflexion sur sa enue vestimentaire, la jugent sale et abimé

Pffff qu'elle conne elle y a trop crus

Ceux qui escortaient Asagi étaient mort de rire, l'histoire de Hyakurin faisait le tour du lycé


Trop simple, trop simple, donnez moi un niveau un peu plus élevé, car à par la bassesse de son vocabulaire, je n'ai pas vu grand chose d'interessant.
tien d'ailleur c'est quoi travelo? elle l'a répété au moins 5 foi pour que tout le monde comprenne bien.
Je connais le mot Travesty, mais travelo c'est vulagire...c'est Hyakurin quoi !

tout le monde éclata de rire et accompagnere Asagi tout la récré durant

Gardant un calme presque...effrayant, elle fixa Asagi d'un air meurtrier pendant un labs très court de temps puis son regard s'adoussi.
Il ne fallait pas dépasser certaines limite avec elle et Asagi venait de mettre fin a certaines choses..
Elle n'écouta même pas le professeur et se dirigea vers la sortie, bousculant Asagi au passage, le renversant par sa brutalité.
On ne la revut plus le lendemain.
En quittant les cours, elle s'était dirigée vers les lieux de résidences de tout les accolytes d'Asagi. Préférant ne pas laisser sa rage s'enfuire de sa cage et ainsi provoquer une bagarre entre eux, elle alla les voir chez eux.
Deux jours après, l'entourage d'Asagi avait bien mauvaise mine et n'osait plus proférer mot sur elle.
Quand a Hyakurin, elle séchait comme a son habitude, mais cette fois, le besoin de trouver une paix intérieur se fit plus pressant, et elle dut le combler en allant se changer les idées dans la cour de l'école. Allongée dans l'herbe, où a quelques mètres des amoureux s'embrassaient dans de langoureux baisers, elle regardait le ciel et son immensité bleuté. Elle s'était promis de ne pas exploser. Sa violence ne devait être mis a nue, sans quoi, elle se détesterait.
*Asagi.. Tu ne m'arranges pas les choses..*

Le lendemain, sa rage s'étant calmée, elle arriva en retard comme d'habitude. Elle prit place et la prof de français leur donna un sujet de rédaction. Soupirant, elle prit une feuille et pour tuer le temps, se mise a écrire, sa main ne s'arrêtant plus de raconter des faits imaginaires qui pourtant, se relatait a la réalité. Elle ne fit même pas attention au parasite, qui n'était même pas là.
Après vingt minutes, elle rendit sa copie de trente lignes, le minimum, et se rassit allant discuter avec ses "connaissances". Une fille qu'elle méprisait grandement se retourna pour lui parler et froidement, elle la coupa alors qu'elle lui disait le bonjour, se retournant légerement

Qu'est ce que tu veux ?

Heu.. un petit bonjour de ta part ne serait pas de refus..

Tu veux quoi ?

Parler, j'ai pas le droit ?

Non

D'accord..sympa...

J'ai jamais été sympa avec des conasses pareils, alors pourquoi tu viens me parler ?

Parce que j'avais envie

Faudrait calmer tes envies, parler c'est pas comme une envie de pisser, ça se contrôle..surtout quand ça fait chier les autres..

La fille, consterné, murmura

Pétasse va

J'ai entendu, t'as interêt a te barrer après les cours

Elle la tira vers elle en lui tirant les cheveux, la faisant basculer en arrière

Je ne supporte pas les merdes comme toi, hypocrites a souhait..

Elle la lacha et la fille retomba lourdement, puis Hyakurin se remise a discuter avec ses connaissances..

Asagi arriva dans la classe ne prennant pas la peine de frapper avant d'entré, il s'approcha de Hyakurin et dit le visage tout sourriant

Tes amis sont vraiment stupide, une embuscade en sortant de chez moi

pfff ridicule...

il lui balança son sac de sport au visage et lui dit de l'ouvir, elle l'ouvrit donc et vit 3paires de mains fraichement arrachés

tu vois sa ne coute pas plus cher de m'obéir, dit le à tes amis enfin je ne pense pas que c'était eux, il y avait un des merdeux d'hier mais les autres m'étaient inconnus

il alla s'assoir à sa place

Bon qu'est ce qu'on fait aujourd'hui?
une dicert?
bon ok donnez moi sa, j'ai de l'inspiration, je vais raconter comment on coupe une main en laissant la perssone vivante

Elle resta stoique et balanca le sac a terre. Longuement, elle regarda droit devant elle. Elle se voilait la face en paraissant sympatique alors qu'elle n'avait aucune considération envers personne. Sur le moment, elle se détesta devant ce manque de réaction. C'était ses amis après tout..pourquoi n'allait-elle pas entrer dans une rage folle, comme elle l'aurait fait avant ? Elle se dégoutait.
Passant devant Asagi, elle le regarda avec un grand mépris dans les yeux.

Tu n'as pas compris ce que je t'avais dis ?
Attends, je vais parler dans le jargon bourgeois
v-a c-h-i-e-r s-o-u-s m-e-r-d-e

Sur ce, elle sortit de la classe sans autorisation et alla faire le ménage dans son esprit au gymnase, a cette heure ci, vide. Arrivée devant la structure immense, elle se calla sur le haut des marches déstinés au supporters

Asagi explosa de rire croyant qu'elle se retenait de pleurer

Monsieur ne lui en voulez pas, elle a ses regles et comme elle est trop pauvre pour se payer des tampons, elle est obligé d'aller au toilette pour se nettoyer, en plus ici l'eau c'est gratuit alors elle en profite


la classe explosa de rire et le professeur demanda à asagi de calmer les eleves en sa fonction de délégué

Elle est partit, maintenant on s'ennui, on tyranise qui?

PROFECHEURRRRRRRRRRRR

le prfesseur se retourna

J'ai entendu dire par un eleve de la classe d'à coté que l'on vous avais vu avec une femme qui n'es pas la votre dans le quatier des loves hotel

Le professeur balbutia et quitta la salle surpris et énervé

Bon maintenant on file emmerder la grosse vache suedoise

toute la classe se rendit donc au gymnase

Dans le gymnase, elle avait trouvé, dans ses divaguations ennuyeuses, quelques bokens et se permit d'en emprunter un. Elle se rassit là ou elle était, et fit des parades avec le sabre en bois, le tenant d'une main, l'autre bras s'accoudant péniblement sur une marche, lui donnant une attitude désinvolte et nonchalente, comme a l'accoutumée.
A moitié allongée sur trois marches entières, elle sabrait le vent, regardant le plafond.
S'occuper au collège était une tache bien difficile..

Des bruits de pas se firent entendre et elle regarda silencieusement là ou le bruit se concentrait et aperçu Asagi, au devant de la classe, fier comme un coq. Il était ridicule dans ses tenues brouillons et sa prétention ne l'aidait pas. Elle rit puis a nouveau, regarda le plafond, mimant des techniques de kendo.

Tiens tiens, les clopportes ambulants.. L'EPS c'est demain..

Asagi arriva et vit Hyakurin, il s'approcha d'elle et lui demanda d'un air soucieux

tu as trouvé une serviette dans un couloir?
c'est bien, tu dois mieux te sentir
mais ... que vois je

il montra du doit une trace de sang laissé par les mains découpé ssur sa robe

elle en a mis partout la couchonne

toute la classe poussa des cris de dégout

Bon Hyak, tu fais quoi? tu joues au baton?